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Chapitre I: Un voyage douloureux.
Cette douleur envahit mon corps, j'ai l'impression que chaque partie de mon être se détache et se fusionne, alors que mon cerveau hurle devant ce mélange de couleurs qui déchire ma rétine.
Puis le néant, la mort, les rideaux se baissent..
J'ouvre les yeux entre ses quatre planches. Une poignée en face de moi et des soins qui proviennent de dehors.. Des voix? Faites que cela soit des voix ! J'ouvre la porte et inspire à plein poumon. Je suis vivant, et je reconnais ses visages. Des amis? Des collègues? Je ne sais plus. Je suis nu.. Bordel ou sont mes vêtements, mes armes?! Et cette odeur qui emplit l'air.. la putréfaction de corps invisibles me fait vomir avec une violence inouïe. On m'aide à me relever, et nous continuons notre chemin vers un filet de lumière aperçu plus loin, nous éloignons de ses sarcophages disposées en étoile.
Alors que nous avançons vers celle lueur, nous apercevons une pyramide. Celle-ci mesure trois mètres, et c'est de la que brille ce soleil étrange. Antony et Harold font la courte échelle à Charles afin qu'il voit ce qu'il y a au dessus.
"Est-ce qu'on est encore sur Terre?" demandais-je au reste du groupe
"Nous ne savons pas, peut-être nous trouvons nous en enfer."
Cette remarque me fait rire, il n y a que les croyants qui ont peur des démons. Je suit alors Madeleine afin de ne plus entendre ses sottises. Nous arrivons devant un tunnel très sombre, et par terre est posé des os dont un chiffon recouvre un bout, ainsi que deux silex
"C'est pas un soleil, c'est une pierre qui émet la lumière !"
Les trois hommes ont mis la main sur une pierre iridescente dont la lumière semble briller par magie. Nous les appelons afin de continuer notre périple ensemble.
Afin de ne pas être trop à l'étroit dans ce tunnel nous marchons deux par deux: Harold et Charles en premier, Madeleine et Antony en deuxième, et moi en dernier. Après avoir passer plusieurs minutes à allumer ma torche artisanale nous voila partit à travers les ténèbres. Mes pieds sont endoloris par la marche sur ce sol brute et ces cailloux. J'entend alors mon cœur battre, résonnant dans mes oreilles, faisant échos sur les parois.. Cet endroit semble de plus en plus étrange. Nous arrivons enfant dans une pièce ou les cailloux sont remplacés par de l'herbe. Alors que nous profitons de ce petit confort, voila qu'un nouveau phénomène étrange attire notre œil: Un tronc d'arbre se balance, de multiples branches se contorsionnent et se frotte contre ce bois d'écorce si vivant.. Elle semble avoir pris conscience de notre présence. Elle agite ses lianes comme pour nous défier. Nous décidons après quelques instants de nous diviser en deux groupes et de courir jusqu'à la sortie, garder par cette chose. Nous nous ruons en avant tous ensemble, et les lianes fouette deux d'entre nous, leur arrachant un cri, faisant perler le sang. Mais nous arrivons vivant hors de la portée de ce monstre. Encore une fois nous avons le droit à un spectacle fantastique. Un lac et un syphon en son centre. Nous devons obligatoirement passer par la, et j'ai peur que l'un d'entre nous se noie. Harold nous apprend à garder de l'air pour nager plus longtemps, et nous voila emporté dans les courants rudes déchainés. Après quelques minutes de nage nous sommes expulsés au dehors. Enfin la terre ferme, et une lune qui brille. Nous avons froid, mais nous avons espoir de pouvoir nous réchauffer en voyant au loin un baraquement. L'endroit semble abandonnait, la porte est entrouverte, une hache est posée auprès de buches de bois, et une petite lumière semble venir de l'intérieur. En arrivant sur les yeux, un spectacle d'horreur nous fait face: Deux enfants sont pendus, leurs membres coupés à la hache, et un vieil homme à la tête coupée de moitié, l'arme étant rester dans le crane. Pauvres gens, assassiner d'une manière inhumaine. Nous enterrons les corps prenant au passage les armes. Nous fouillons le baraquement et nous trouvons des vêtements, des lampes à pétrole, une pioche et un bidon d'essence. Ce qui nous terrifie le plus, c'est la conviction d'avoir voyager dans le temps. Nous sommes sans doutes en 1880, peut être un peu plus, les cartouche de fusil nous tend dans ce sens. Il faut que nous nous réchauffions pret du feu et que nous dormions. Malgré la peur, nous arrivons à passer une nuit tranquille. Alors que le matin se lève, nous partons de cet endroit horrible afin de trouver un village.
Nous ne sommes plus à notre époque, c'est certain maintenant. Les bâtiments sont bien trop anciens. Même nos villages les plus reculés de notre ère ne sont pas aussi vieux. Et puis.. Il y a cette église, dont le vitrail montre une rose, et en regardant minutieusement, une créature voutée et ignoble se cache. En rentrant à l'intérieur nous faisons la connaissance du père Yrvinne. Après qu'Harold nous ai donner des informations sur Shub-Niggurath, je décide jouer la carte de l'infiltration, et demande de me confesser auprès du père. Je lui dis que j'ai renier Dieu et que je recherche la vérité. Après m'avoir écouter, il me dit de patienter dans l'auberge de Victor, et qu'il allait voir pour m'aider.
Puis le néant, la mort, les rideaux se baissent..
J'ouvre les yeux entre ses quatre planches. Une poignée en face de moi et des soins qui proviennent de dehors.. Des voix? Faites que cela soit des voix ! J'ouvre la porte et inspire à plein poumon. Je suis vivant, et je reconnais ses visages. Des amis? Des collègues? Je ne sais plus. Je suis nu.. Bordel ou sont mes vêtements, mes armes?! Et cette odeur qui emplit l'air.. la putréfaction de corps invisibles me fait vomir avec une violence inouïe. On m'aide à me relever, et nous continuons notre chemin vers un filet de lumière aperçu plus loin, nous éloignons de ses sarcophages disposées en étoile.
Alors que nous avançons vers celle lueur, nous apercevons une pyramide. Celle-ci mesure trois mètres, et c'est de la que brille ce soleil étrange. Antony et Harold font la courte échelle à Charles afin qu'il voit ce qu'il y a au dessus.
"Est-ce qu'on est encore sur Terre?" demandais-je au reste du groupe
"Nous ne savons pas, peut-être nous trouvons nous en enfer."
Cette remarque me fait rire, il n y a que les croyants qui ont peur des démons. Je suit alors Madeleine afin de ne plus entendre ses sottises. Nous arrivons devant un tunnel très sombre, et par terre est posé des os dont un chiffon recouvre un bout, ainsi que deux silex
"C'est pas un soleil, c'est une pierre qui émet la lumière !"
Les trois hommes ont mis la main sur une pierre iridescente dont la lumière semble briller par magie. Nous les appelons afin de continuer notre périple ensemble.
Afin de ne pas être trop à l'étroit dans ce tunnel nous marchons deux par deux: Harold et Charles en premier, Madeleine et Antony en deuxième, et moi en dernier. Après avoir passer plusieurs minutes à allumer ma torche artisanale nous voila partit à travers les ténèbres. Mes pieds sont endoloris par la marche sur ce sol brute et ces cailloux. J'entend alors mon cœur battre, résonnant dans mes oreilles, faisant échos sur les parois.. Cet endroit semble de plus en plus étrange. Nous arrivons enfant dans une pièce ou les cailloux sont remplacés par de l'herbe. Alors que nous profitons de ce petit confort, voila qu'un nouveau phénomène étrange attire notre œil: Un tronc d'arbre se balance, de multiples branches se contorsionnent et se frotte contre ce bois d'écorce si vivant.. Elle semble avoir pris conscience de notre présence. Elle agite ses lianes comme pour nous défier. Nous décidons après quelques instants de nous diviser en deux groupes et de courir jusqu'à la sortie, garder par cette chose. Nous nous ruons en avant tous ensemble, et les lianes fouette deux d'entre nous, leur arrachant un cri, faisant perler le sang. Mais nous arrivons vivant hors de la portée de ce monstre. Encore une fois nous avons le droit à un spectacle fantastique. Un lac et un syphon en son centre. Nous devons obligatoirement passer par la, et j'ai peur que l'un d'entre nous se noie. Harold nous apprend à garder de l'air pour nager plus longtemps, et nous voila emporté dans les courants rudes déchainés. Après quelques minutes de nage nous sommes expulsés au dehors. Enfin la terre ferme, et une lune qui brille. Nous avons froid, mais nous avons espoir de pouvoir nous réchauffer en voyant au loin un baraquement. L'endroit semble abandonnait, la porte est entrouverte, une hache est posée auprès de buches de bois, et une petite lumière semble venir de l'intérieur. En arrivant sur les yeux, un spectacle d'horreur nous fait face: Deux enfants sont pendus, leurs membres coupés à la hache, et un vieil homme à la tête coupée de moitié, l'arme étant rester dans le crane. Pauvres gens, assassiner d'une manière inhumaine. Nous enterrons les corps prenant au passage les armes. Nous fouillons le baraquement et nous trouvons des vêtements, des lampes à pétrole, une pioche et un bidon d'essence. Ce qui nous terrifie le plus, c'est la conviction d'avoir voyager dans le temps. Nous sommes sans doutes en 1880, peut être un peu plus, les cartouche de fusil nous tend dans ce sens. Il faut que nous nous réchauffions pret du feu et que nous dormions. Malgré la peur, nous arrivons à passer une nuit tranquille. Alors que le matin se lève, nous partons de cet endroit horrible afin de trouver un village.
Nous ne sommes plus à notre époque, c'est certain maintenant. Les bâtiments sont bien trop anciens. Même nos villages les plus reculés de notre ère ne sont pas aussi vieux. Et puis.. Il y a cette église, dont le vitrail montre une rose, et en regardant minutieusement, une créature voutée et ignoble se cache. En rentrant à l'intérieur nous faisons la connaissance du père Yrvinne. Après qu'Harold nous ai donner des informations sur Shub-Niggurath, je décide jouer la carte de l'infiltration, et demande de me confesser auprès du père. Je lui dis que j'ai renier Dieu et que je recherche la vérité. Après m'avoir écouter, il me dit de patienter dans l'auberge de Victor, et qu'il allait voir pour m'aider.